Dès les premières notes, Gluck déclenche sur scène une tempête, dont les éléments déchaînés semblent tout droit sortis de l’âme d’Iphigénie. La suite ne lasse pas de nous emporter : Iphigénie en Tauride est une course contre la mort. Habitée par la musique de Gluck, la langue française acquiert une puissance lyrique stupéfiante. Au siècle suivant, elle stupéfiera la génération romantique - qui vouera au compositeur allemand une admiration sans faille - dont Berlioz : “Le jour où, après une anxieuse attente, il me fut enfin permis d’entendre Iphigénie en Tauride, je jurai, en sortant de l’Opéra, que malgré père, mère, oncles, tantes, grands-parents et amis, je serais musicien.”
Contacts
Matthieu Dussouillez, Directeur général et artistique : matthieu.dussouillez@opera-nancy.fr
Julien Achaintre, Directeur technique et de production : julien.achaintre@opera-nancy.fr
Mise en scène Silvia Paoli
Décors Lisetta Buccellato
Costumes Alessio Rosati
Lumières Fiammetta Baldiserri
Assistanat à la mise en scène Tecla Gucci
Assistanat aux costumes Veronica Pattuelli
Assistanat aux lumières Oscar Frosio
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